7e tour du Wurzel
Départ dans la fraîcheur du petit matin (6h), mais sans vent, pour la plus longue épreuve. Maxime Rauner était chaud. Engageant la première partie du parcours sur des bases élevées (un quart d’heure d’avance à la Roche des Fées), il devra se montrer plus raisonnable dans sa progression.
Le poids des montées
« Après le Trail du Petit Ballon, je sentais que j’avais de bonnes jambes jusqu’à la mi-course. La troisième montée était un peu plus délicate et j’ai levé le pied avant de relancer dans le final, où le mental a pris le dessus. »
Surpris par son chrono (4h37’43) – « Je pensais faire autour des 5 heures pour une première participation sur cette distance (il avait déjà couru le 24 km à Villé, et ne connaissait donc que la seconde moitié du parcours) » – le coureur de l’ANA-Saverne n’était pas si loin de la référence Spehler : 4h24 lors de sa meilleure année.
Le Strasbourgeois Mickaël Stefanini, lui, avait construit sa 2e place du côté de l’Ungersberg. « Je suis parti sur un petit rythme, avant de faire ma course. » Kevin Houlné et Mathieu Motsch avaient perdu le contact, et se feront aussi chasser du podium par l’Allemand Matthias Krah. Première féminine (en 6h01’45), Estelle Patoux, la militaire du 1er Régiment d’artillerie de Bourogne et, surtout, ancienne internationale de triathlon longue distance.
« Quand j’ai arrêté, j’avais d’abord fait des raids multisports dans les Deux-Sèvres. Et en arrivant à l’ASPTT Belfort, j’ai vu que la région proposait de belles épreuves de trail. Je voulais déjà venir à Villé l’an dernier, mais j’étais au fond de mon lit ! J’ai un peu craqué dans la dernière heure et je me suis battue contre moi-même. »
Le poids des montées
« Après le Trail du Petit Ballon, je sentais que j’avais de bonnes jambes jusqu’à la mi-course. La troisième montée était un peu plus délicate et j’ai levé le pied avant de relancer dans le final, où le mental a pris le dessus. »
Surpris par son chrono (4h37’43) – « Je pensais faire autour des 5 heures pour une première participation sur cette distance (il avait déjà couru le 24 km à Villé, et ne connaissait donc que la seconde moitié du parcours) » – le coureur de l’ANA-Saverne n’était pas si loin de la référence Spehler : 4h24 lors de sa meilleure année.
Le Strasbourgeois Mickaël Stefanini, lui, avait construit sa 2e place du côté de l’Ungersberg. « Je suis parti sur un petit rythme, avant de faire ma course. » Kevin Houlné et Mathieu Motsch avaient perdu le contact, et se feront aussi chasser du podium par l’Allemand Matthias Krah. Première féminine (en 6h01’45), Estelle Patoux, la militaire du 1er Régiment d’artillerie de Bourogne et, surtout, ancienne internationale de triathlon longue distance.
« Quand j’ai arrêté, j’avais d’abord fait des raids multisports dans les Deux-Sèvres. Et en arrivant à l’ASPTT Belfort, j’ai vu que la région proposait de belles épreuves de trail. Je voulais déjà venir à Villé l’an dernier, mais j’étais au fond de mon lit ! J’ai un peu craqué dans la dernière heure et je me suis battue contre moi-même. »