Ce sera le groupe le plus important en nombre sur la ligne de départ de la Savernoise. Demain soir, l’hôpital de Saverne alignera près de 500 coureurs et marcheurs sur la ligne de départ.
Un record pour la course, ainsi que pour l’hôpital. Un nombre tellement inattendu que l’animatrice sportive de l’unité de prévention santé de l’hôpital, Michèle Stein, qui coordonne l’événement, ne sait même plus combien de dossards ont été distribués.
« Il y a des participants dans tous les services de l’hôpital »
« Parmi les participants, il y aura 70 coureurs, les autres marcheront », précise la directrice des soins Odile Turko. Sur ces 500 participants, 80 sont des hommes qui se déguiseront, comme il se doit, en femme pour l’événement.
L’année dernière, 185 avaient déjà enfilé le t-shirt rose et parcouru les 5 000 mètres de la Savernoise. Cette année, le groupe s’est donc largement agrandi. « Il y a des participants dans tous les services de l’hôpital, de la direction aux personnels médicaux et administratifs », se félicite Odile Turko qui précise que le groupe rassemblera également des proches des employés.
Une mobilisation que Michèle Stein explique parce que, dès lors qu’on travaille à l’hôpital, on est en contact direct avec les malades et donc avec des femmes affectées par un cancer du sein. Les différents services de l’établissement de santé les suivent tout au long de la maladie : lors des actions de prévention, de la phase de diagnostic, pendant leur traitement et jusqu’à leur réinsertion dans le monde du travail.
Des casques de réalité virtuelle pour les malades
L’hôpital de Saverne est également, avec le centre Paul-Strauss de Strasbourg, bénéficiaire de la course. Au moins 4 euros sur les 10 euros requis pour participer à la Savernoise seront reversés à ces deux établissements de santé. « L’année dernière, c’étaient même 6 euros sur 10 euros de participation », rappelle l’organisateur de la course, Jean-Pierre Joste.
Avec l’argent récolté cette année, l’hôpital de Saverne entend acheter des casques de réalité virtuelle, « afin que les patientes puissent s’évader durant leur traitement », explique Michèle Stein. « Nous serions le premier hôpital de France à déployer un tel dispositif », précise Odile Turko. Grâce au soutien de la Ligue contre le cancer, elles espèrent pourvoir acquérir « au moins deux casques. Trois ou quatre seraient encore mieux », espère Michèle Stein.
Un record pour la course, ainsi que pour l’hôpital. Un nombre tellement inattendu que l’animatrice sportive de l’unité de prévention santé de l’hôpital, Michèle Stein, qui coordonne l’événement, ne sait même plus combien de dossards ont été distribués.
« Il y a des participants dans tous les services de l’hôpital »
« Parmi les participants, il y aura 70 coureurs, les autres marcheront », précise la directrice des soins Odile Turko. Sur ces 500 participants, 80 sont des hommes qui se déguiseront, comme il se doit, en femme pour l’événement.
L’année dernière, 185 avaient déjà enfilé le t-shirt rose et parcouru les 5 000 mètres de la Savernoise. Cette année, le groupe s’est donc largement agrandi. « Il y a des participants dans tous les services de l’hôpital, de la direction aux personnels médicaux et administratifs », se félicite Odile Turko qui précise que le groupe rassemblera également des proches des employés.
Une mobilisation que Michèle Stein explique parce que, dès lors qu’on travaille à l’hôpital, on est en contact direct avec les malades et donc avec des femmes affectées par un cancer du sein. Les différents services de l’établissement de santé les suivent tout au long de la maladie : lors des actions de prévention, de la phase de diagnostic, pendant leur traitement et jusqu’à leur réinsertion dans le monde du travail.
Des casques de réalité virtuelle pour les malades
L’hôpital de Saverne est également, avec le centre Paul-Strauss de Strasbourg, bénéficiaire de la course. Au moins 4 euros sur les 10 euros requis pour participer à la Savernoise seront reversés à ces deux établissements de santé. « L’année dernière, c’étaient même 6 euros sur 10 euros de participation », rappelle l’organisateur de la course, Jean-Pierre Joste.
Avec l’argent récolté cette année, l’hôpital de Saverne entend acheter des casques de réalité virtuelle, « afin que les patientes puissent s’évader durant leur traitement », explique Michèle Stein. « Nous serions le premier hôpital de France à déployer un tel dispositif », précise Odile Turko. Grâce au soutien de la Ligue contre le cancer, elles espèrent pourvoir acquérir « au moins deux casques. Trois ou quatre seraient encore mieux », espère Michèle Stein.